Je reconnais, à l’orée de ma vieillesse, une occasion singulière où ma pratique de l’écriture peut être comparée à un acte d’amour : c’est quand je fais tomber mon stylo ; car, comme l’a déclamé une poétesse du vingtième siècle dans son célèbre ennéasyllabe : « aimer, c’est pleurer quand on s’incline ».
2 réponses à “Mon corps n’est pas une écriture fluide”
Le silence de l’amour ….
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L’écriture est un acte tellement imparfait pour traduire émotions,convictions que poser le stylo , après l’effort de la quête intérieure procure un sentiment d’acceptation. Peut être pas la sérénité , mais une forme de sagesse primaire…
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