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Anna de Sandre

  • Anna de Sandre — Un régal d’herbes mouillées — éd. Dessert de lune

    décembre 19th, 2008
    regal-herbes
    Un régal d’herbes mouillées

    Des poèmes comme de petits romans avec des personnages au quotidien pas toujours rose.

    Éditions Les Carnets du dessert de lune
    Poèmes d’Anna de Sandre
    Collection Pleine Lune
    ISBN-13: 978-2930607528
    Broché: 88 pages
    Parution : 4 juin 2012
    Langue : Français
    ISBN-10: 2930607521
    Revue de Presse
    Recours au poème
    Marc Villemain
    Delitteris
    Des mots et de notes

    Ptyx librairie

    © Jacmo in Décharge N°156

    Chaque poème est une petite histoire, très moderne. Il y a de la gouaille et de la verdeur dans ces petits contes. Et tout est bouclé en une page ou deux, d’autant plus rapidement que c’est écrit en vers. Souvent la coupe se fait par groupes grammaticaux plus ou moins serrés et ce découpage permet de mieux saisir le sens. Cela peut aller jusqu’à l’élision orale avec des apostrophes pour marquer l’e muet. Anna de Sandre ne manque ni de vigueur ni d’imagination, son petit monde un peu noir et un peu trivial ne manque pas de force et d’intérêt.

    Le Nouvel Athanor

    Originale, Anna de Sandre ! Je ne sais pas si elle parvient à « emmerder les saules pleureurs » (sic) , mais j’apprécie ses textes qui disent tout à la fois les misères sexuelles et les grandes solitudes de notre société d’aujourd’hui. Quand on lit : « Les poings serrés sur une serpillière espagnole tu
    nettoieras la saleté des jours », on comprend vite qu’Anna de Sandre qui n’a pas peur de l’argot (kiffer, crever, bordel et j’en passe !) parvient à exprimer un univers à la Piaf grâce à un art poétique qui, en effet, est voisin de celui d’une Valérie Rouzeau.L’indignation est naturelle pour un poète, mais trouver les mots pour le dire est rare. Raison de plus pour saluer l’exploit, surtout quand son auteur anime, au surplus, un blog dynamique (« Biffures chroniques »)qui est une belle auberge ouverte à l’imaginaire.
    Ariane Luthï
    Ce livre de poèmes, premier vrai recueil d’Anne de Sandre, donne à lire des textes poétiques d’une à deux pages qui font penser à des petits romans dont le quotidien des personnages n’est pas toujours rose; ainsi, le portrait de l’«Atrabiliare»: «Folle de rage, / une seiche homochrome / et versatile / soulage sa bile / en embrassant une carrière / d’écrivaine. // Tandis qu’elle crache / l’encre du bout / de son entonnoir, / un atramantophile s’amarouche / de son écriture, sépia, / sèche et nerveuse.» Les vers brefs –parfois un seul mot par ligne –provoquent une impression de vitesse et de légèreté. L’art du bref est une prédilection de l’auteur écrivant principalement des nouvelles et de la poésie, la volonté de (se) réduire à l’essentiel se traduit aussi au niveau de la couverture (par Francesco Pittau), où quelques traits rapides rendent les herbes –poétiques –évoquées dans le titre du riche recueil.
    Michel Baglin
    Anna de Sandre, à ma connaissance n’a guère publié qu’en revue, mais Gallimard jeunesse va éditer un de ses livres. En attendant, c’est «Un régal d’herbes mouillées» qui nous est donné à lire par Jean-Louis Massot et ses Carnets du dessert de Lune (67 rue de Venise -B1050 Bruxelles Belgique). 90 pages environ (pour 12 euros), de poèmes qui racontent (ils se veulent «petits romans»), mettent en scène des personnages, dessinent des tableaux, dans un mélange de langue soignée et d’argot, et dans un Sud-Ouest que je reconnais avec plaisir, «entre Gaillac et Rabastens» (expression qui sert à désigner quelqu’un entre deux vins) ou du côté des cimetières de Cornebarrieu ou de Terre-Cabade. C’est musical («les gestes lents d’un homme las») autant que rugueux comme nombre de personnages un peu rustres, cru, trivial, violent parfois, à l’image de cette «lune basse et lourde (qui) foutait le feu à un tronc d’arbre», C’est faussement naïf, hanté par la mort, ou une cupidité qu’on devine souvent à l’œuvre dans le malheur. Mais surtout secrètement désespéré, comme ces personnages esquissés que l’on devine tous blessés par «la saleté des jours».
  • Anna de Sandre — Iris et l’escalier — Gallimard

    août 14th, 2008
    Iris et l'escalier
    Iris est haute comme trois pommes. Et l’escalier est si haut. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 10 marches ! C’est impressionnant, alors elle le gronde pour se donner du courage.
    Une fois l’escalier vaincu, Iris veut grimper plus haut, elle veut toucher le ciel ! Alors commence l’aventure…
    #courage #enfance #imagination
    ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥
    Éditions Gallimard Jeunesse
    Texte : Anna de Sandre
    Illustration : Chiyaki Miyamoto
    Collection : Giboulées
    3 à 6 ans
    album
    nombre de pages : 32
    ISBN-10: 2070649172
    Prix : 13,50€
    Paru la première fois le 23 novembre 2012
    Revue de presse et des blogs
    Les mots de la fin
    Sous le feuillage
    Madame bouquine
    Littérauteurs
    Clarabel
    Yanasaul
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