12 réponses à “Lecture-rencontre le 06 avril à la Maison de la Poésie de Pau”
J'ai rencontré votre éditeur des Carnets du dessert de lune et Francesco Ptau à la Foire du livre de Bruxelles. Nous y avons aussi parlé de vous… en bien 😉 (j'ai parlé de votre recueil à des copines, elles se sont laissé séduire) Et là, je découvre votre joli visage… Pau c'est vraiment trop loin (quelle bonne idée, une rencontre autour de deux poètes contemporains !!) mais si jamais vous montez plus haut vers le Nord… je guetterai les nouvelles 🙂
J'ai fait partie d'un lieu qui s'était autoproclamé « Maison de la poésie »….J'y professais, je le professe, toujours, que la poésie n'a pas de maison. Dans ce lieu là,il y en avait tellement peu ou elle servait de prétexte à des intérêts pseudos idéologiques et surtout très personnels, que je l'ai quitté sans regret. La poésie est un furet fait pour courir, il surgit à l'improviste, n'appartient à personne, il s'échappe, fuit…Le laisser vivre sans dévotion bigote est un des moyens de croiser son chemin…
Il est agréable et surprenant de voir le regard de l'auteure qui ,ici, s'exprime. Je ne me prononcerai pas sur la joliesse du visage pas plus que je m'interroge sur les lacs masqués derrière cette figure enjouée, j'aime bien son écriture, surtout, la poétique déliée, musicale, sa douceur extrême et ses soudaines éruptions de violence…
Je crois qu'avec un artiste ou on garde distance ou on est ami complice, il n'y a pas de demi mesure quand l'art pointe son museau hors des galeries de nos vies de taupe aveugle, fouissant vers la lumière, rejetant des déjections de compromis…
Décidément, Poitiers est un lieu où on s’arrête. Le 6 avril sera « battle » de poésie, il n'y aura pas de mots morts. Ad vienne qui pourra! Est ce après Boivre que s'envola la chanson « Elle avait de tout petits pictons…. »
12 réponses à “Lecture-rencontre le 06 avril à la Maison de la Poésie de Pau”
J'ai rencontré votre éditeur des Carnets du dessert de lune et Francesco Ptau à la Foire du livre de Bruxelles. Nous y avons aussi parlé de vous… en bien 😉 (j'ai parlé de votre recueil à des copines, elles se sont laissé séduire) Et là, je découvre votre joli visage… Pau c'est vraiment trop loin (quelle bonne idée, une rencontre autour de deux poètes contemporains !!) mais si jamais vous montez plus haut vers le Nord… je guetterai les nouvelles 🙂
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C'est plutôt Francesco Pittau, bien sûr. Et c'est à Pau ou à Poitiers ? (même à Poitiers, c'est un peu loin…)
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Aucun des deux ne m'en a parlé, je vais leur botter les fesses. Pour nous croiser un jour, peut-être, voici mon actualité :
http://biffureschroniquesads.wordpress.com/actualite/
à très bientôt je l'espère, Anne.
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c'est bien, d'avoir un lieu qui s'appelle Maison de la poésie 🙂
je vous souhaite une belle rencontre!
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J'ai fait partie d'un lieu qui s'était autoproclamé « Maison de la poésie »….J'y professais, je le professe, toujours, que la poésie n'a pas de maison. Dans ce lieu là,il y en avait tellement peu ou elle servait de prétexte à des intérêts pseudos idéologiques et surtout très personnels, que je l'ai quitté sans regret. La poésie est un furet fait pour courir, il surgit à l'improviste, n'appartient à personne, il s'échappe, fuit…Le laisser vivre sans dévotion bigote est un des moyens de croiser son chemin…
Il est agréable et surprenant de voir le regard de l'auteure qui ,ici, s'exprime. Je ne me prononcerai pas sur la joliesse du visage pas plus que je m'interroge sur les lacs
masqués derrière cette figure enjouée, j'aime bien son écriture, surtout, la poétique déliée, musicale, sa douceur extrême et ses soudaines éruptions de violence…
Je crois qu'avec un artiste ou on garde distance ou on est ami complice, il n'y a pas de demi mesure quand l'art pointe son museau hors des galeries de nos vies de taupe aveugle, fouissant vers la lumière, rejetant des déjections de compromis…
Décidément, Poitiers est un lieu où on s’arrête. Le 6 avril sera « battle » de poésie, il n'y aura pas de mots morts. Ad vienne qui pourra! Est ce après Boivre que s'envola la chanson « Elle avait de tout petits pictons…. »
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Une photo sensationnelle 🙂
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Félicitations ! ;7)
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Anna de Sandre à Poitiers,
Comme le temps passe vite…
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Merci beaucoup, Adrienne.
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N'est-ce pas ? la photographe est Frédérique Martin, tu la connais ?
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Merci Douglas 🙂
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A qui le dis-tu ! 🙂
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