Je me décide enfin à écrire pour rentrer de la fraîche(à l’instar de Pierre Rabhi et de Jean-Claude Carrière) et pour se faire, je vais surfer sur les sujets d’actualité en rédigeant un essai à propos des rapports putassiers entre les maladies chroniques et les thérapies alternatives, qui aura pour titre « L’hépatite, c’est épatant ! » et que je ferai éditer bien sûr chez Odile Jacob.
Puis, afin de consolider ma fortune et de m’assurer des chroniques dans toutes les revues littéraires et scientifiques de France et de Navarre, j’en sortirai un autre sur les croyances et les clichés au sujet de la sexualité des doctorantes du XVIIème siècle à nos jours. Bien entendu, je m’inspirerai pour plaire aux libraires et aux journalistes du savoir-faire calembourien d’un Télérama ou d’un Libé. C’est pourquoi il paraîtra aux éditions de la Béguine Rouge avec le titre suivant : « La thèse ou la baise ? ».
Puis, afin de consolider ma fortune et de m’assurer des chroniques dans toutes les revues littéraires et scientifiques de France et de Navarre, j’en sortirai un autre sur les croyances et les clichés au sujet de la sexualité des doctorantes du XVIIème siècle à nos jours. Bien entendu, je m’inspirerai pour plaire aux libraires et aux journalistes du savoir-faire calembourien d’un Télérama ou d’un Libé. C’est pourquoi il paraîtra aux éditions de la Béguine Rouge avec le titre suivant : « La thèse ou la baise ? ».
2 réponses à “La roue de la fortune”
Sainte thèse dans les yeux…comme de la braise!
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Pour faire tourner, à son profit, la roue de la fortune vaut mieux être roué que doué, savoir faire la roue plutôt que faire danser les mots….
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