La fin d’un monde aura l’odeur
D’une orangeraie
Et je n’en serai pas surprise
Les pisteurs fermeront les chemins
À la vue
Des arlequinades parfumées abuseront
Des chiens
Et ceux-ci gémiront
Les oreilles couchées par le plaisir
Tandis que je resterai
En marche
Les esprits obscurcis le temps
D’un leurre de ma façon
Resteront apaisés
Quand j’aurai déjà détruit
Leurs maisons et leur lignée
Pour venir te chercher
(extrait d’un recueil épuisé, en préparation pour un recueil corrigé et augmenté)
Une réponse à “En marche”
Très beau texte.
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