L A BUSE TOURNOYAIT EN SPIRALE, à une distance qui permettait d’affirmer qu’elle attendrait en vain. Il suffisait pour s’en rendre compte de pénétrer dans la forêt, d’avancer dans les odeurs de cheval et d’automne et de suivre la courbe du chemin de terre en fixant avec un point de vue autrement intéressant le petit…
Catégorie : carnets
Quante storie
Journal du temps qu’il fait — Dans le domicile diurne de Saturne
Se faire appeler Arthur
biffures chroniques #17
When spring comes around
Dans le cadre du Printemps des poètes 2018 et du multiculturalisme inclusif, j’ai écrit un poème hispano-gersois que j’ai intitulé : « Hasta luego Astaffort ».
Nouvelle lune
Biffures chroniques #16
Questionnaire du Candide
Interview dirigée par Brice Torrecillas
Voyante pour écrivains
Biffures Chroniques — #11
L’écrivaine est un macho
Biffures Chroniques — #10
Se rattraper sur les couchers
Biffures Chroniques — #9
Zoom sur le bénédicité
Biffures Chroniques — #8